Champlemy 58210
Du /00/1e16 au //099
Vendredi 10 décembre à 10h30 à Champlemy Théâtre d’objets et bruitages Il y a la neige, puis un flocon… Flocon flâne, fait de drôles de rencontres, cherche sa place dans ce monde… Spectacle tout public, à partir de 18 mois – 30 minutes Renseignements et inscriptions à La Toute Petite Bibliothèque de Prémery au 09 72 53 46 12
Nevers 58000
Du 25/11/2021 au 22/02/2022
C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]
Nevers 58000
Du 25/11/2021 au 22/02/2022
C'est un lieu commun : nous évoluons sans répit (ou presque) dans un monde d'images et de technologies dont les origines, les mécanismes nous échappent grandement - happés que nous sommes par leur efficacité fonctionnelle. À rebours de cet état de fait, là où l'on ne perçoit habituellement que boîtiers compacts et opaques, l'installation Dyslexie de surfaces, nous invite à pénétrer dans cet espace caché, à en éprouver l'esthétique. Dans ce chantier au long cours qu'il développe depuis 2019, Jean-Julien Ney appréhende nos objets numériques dans leur physicalité irréductible. Il sépare les composants, distend les circuits, insère du vide, crée des volumes, travaille l'image et son altération telle un objet. Ses mains dissèquent, mais loin de se défaire de la logique machinique, elles nous la restituent comme agrandie, en quelques sortes à la fois ridiculisée et effrayante. Nous sommes en effet face à des paysages à l'élégance clinique, se présentant comme autant d'arrêts sur image pris dans le mouvement imperturbable d'une machinerie obsessionnelle. Régies selon l'angle droit du profilé d'aluminium, des surfaces se dupliquent, obéissent à un processus imparable, à même d'absorber,[...]